Ecosystèmes, milieux aquatiques, biodiversité

Etude naturaliste

Les écologues de GES disposent de compétences naturalistes variées et des matériels adaptés aux cortèges à étudier : flore, avifaune, mammalofaune, chiroptères, amphibiens, …

Les prestations proposées sont proportionnées en fonction du contexte de chaque site et de ses connexions avec les trames écologiques locales : investigations diurnes et nocturnes, visites durant plusieurs saisons, emprise de la zone d’étude …

GES propose une assistance complète, à travers chaque phase du projet concerné pour anticiper efficacement les enjeux incontournables et garantir la réussite du projet.

Etude d’impact sur la faune et la flore

L’étude d’impact d’un projet nécessite une caractérisation préalable exhaustive et objective de l’état initial du site, de ses habitats, de sa biodiversité et de leurs interactions, pour proposer des mesures d’évitement, de réduction et/ou de compensation (ERC) adaptées aux enjeux.

GES accompagne les industriels et les collectivités à tous les stades de leurs projets :

  • Diagnostic préalable d’une réserve foncière ou d’un nouveau terrain pressenti pour un projet : recensement des habitats, inventaire faune et flore, identification de zones humides,
  • Assistance pour la configuration des projets en fonction des enjeux liés à la biodiversité : tracé de canalisation, extension de site, …
  • Elaboration d’étude d’impact environnementale et du schéma ERC : Eviter – Réduire – Compenser,
  • Le cas échéant, la demande de dérogations « Espèces protégées »,
  • Suivi écologique de travaux et des plans de gestion.

Etude de zones humides

Au sens du code de l’environnement, les zones humides sont "les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire, ou dont la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année".

L’identification, la préservation et la gestion de ces zones sont réglementairement encadrées.

Les zones humides sont caractérisées selon des critères de végétation, d’habitat et d’hydromorphie des sols (caractérisation pédologique GEPPA). La méthodologie mise en œuvre est celle définie par l’arrêté ministériel modifié du 24 juin 2008, relatif aux critères de définition et de délimitation des zones humides en application des articles L.214-7-1 et R.211-108 du code de l'environnement.

Les écologues et les pédologues de GES vérifient la présence d’une zone humide sur un terrain ou affinent les délimitations des zones répertoriées dans des documents d’urbanisme ou autres schémas et programmes.

Caractérisation et suivi du milieu aquatique

L’évaluation de l’impact d’une station d’épuration ne se limite pas au suivi des rejets : elle doit être replacée dans le contexte du milieu récepteur et de son évolution. Connaître finement les caractéristiques physiques, chimiques et biologiques du cours d’eau permet de mesurer la sensibilité du milieu et d’anticiper ses capacités de résilience face aux pressions exercées.

L’analyse combine plusieurs volets :

  • les données physico-chimiques (macropolluants, micropolluants, oxygénation, température, débits), qui conditionnent la dilution et la dispersion des effluents ;
  • les apports amont, indispensables pour différencier l’impact des rejets de celui du bassin versant ;
  • la qualité biologique, évaluée à l’aide d’indices normalisés (IBD, I2M2…), qui reflètent l’état écologique global et intègrent les effets cumulés des pressions.

Au-delà d’un diagnostic ponctuel, un suivi, mené au fil des saisons et reconduit sur plusieurs années, permet de prendre en compte la variabilité hydrologique et biologique. Ce suivi offre des éléments essentiels pour :

  • évaluer l’acceptabilité du milieu en cas d’évolution de l’activité industrielle ou de la charge traitée,
  • anticiper les conditions de rejet en période sensible (étiage),
  • orienter les actions de gestion pour préserver durablement l’équilibre écologique,
  • et adapter la filière de traitement.

Ainsi, la connaissance approfondie et évolutive du milieu récepteur devient un véritable outil d’aide à la décision, au service de la performance des ouvrages d’assainissement et de la protection des ressources en eau.

Etude naturaliste

Les écologues de GES disposent de compétences naturalistes variées et des matériels adaptés aux cortèges à étudier : flore, avifaune, mammalofaune, chiroptères, amphibiens, …

Les prestations proposées sont proportionnées en fonction du contexte de chaque site et de ses connexions avec les trames écologiques locales : investigations diurnes et nocturnes, visites durant plusieurs saisons, emprise de la zone d’étude …

GES propose une assistance complète, à travers chaque phase du projet concerné pour anticiper efficacement les enjeux incontournables et garantir la réussite du projet.

Etude d’impact sur la faune et la flore

L’étude d’impact d’un projet nécessite une caractérisation préalable exhaustive et objective de l’état initial du site, de ses habitats, de sa biodiversité et de leurs interactions, pour proposer des mesures d’évitement, de réduction et/ou de compensation (ERC) adaptées aux enjeux.

GES accompagne les industriels et les collectivités à tous les stades de leurs projets :

  • Diagnostic préalable d’une réserve foncière ou d’un nouveau terrain pressenti pour un projet : recensement des habitats, inventaire faune et flore, identification de zones humides,
  • Assistance pour la configuration des projets en fonction des enjeux liés à la biodiversité : tracé de canalisation, extension de site, …
  • Elaboration d’étude d’impact environnementale et du schéma ERC : Eviter – Réduire – Compenser,
  • Le cas échéant, la demande de dérogations « Espèces protégées »,
  • Suivi écologique de travaux et des plans de gestion.

Etude des zones humides

Au sens du code de l’environnement, les zones humides sont "les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire, ou dont la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année".

L’identification, la préservation et la gestion de ces zones sont réglementairement encadrées.

Les zones humides sont caractérisées selon des critères de végétation, d’habitat et d’hydromorphie des sols (caractérisation pédologique GEPPA). La méthodologie mise en œuvre est celle définie par l’arrêté ministériel modifié du 24 juin 2008, relatif aux critères de définition et de délimitation des zones humides en application des articles L.214-7-1 et R.211-108 du code de l'environnement.

Les écologues et les pédologues de GES vérifient la présence d’une zone humide sur un terrain ou affinent les délimitations des zones répertoriées dans des documents d’urbanisme ou autres schémas et programmes.

Caractérisation et suivi du milieu aquatique

L’évaluation de l’impact d’une station d’épuration ne se limite pas au suivi des rejets : elle doit être replacée dans le contexte du milieu récepteur et de son évolution. Connaître finement les caractéristiques physiques, chimiques et biologiques du cours d’eau permet de mesurer la sensibilité du milieu et d’anticiper ses capacités de résilience face aux pressions exercées.

L’analyse combine plusieurs volets :

  • les données physico-chimiques (macropolluants, micropolluants, oxygénation, température, débits), qui conditionnent la dilution et la dispersion des effluents ;
  • les apports amont, indispensables pour différencier l’impact des rejets de celui du bassin versant ;
  • la qualité biologique, évaluée à l’aide d’indices normalisés (IBD, I2M2…), qui reflètent l’état écologique global et intègrent les effets cumulés des pressions.

Au-delà d’un diagnostic ponctuel, un suivi, mené au fil des saisons et reconduit sur plusieurs années, permet de prendre en compte la variabilité hydrologique et biologique. Ce suivi offre des éléments essentiels pour :

  • évaluer l’acceptabilité du milieu en cas d’évolution de l’activité industrielle ou de la charge traitée,
  • anticiper les conditions de rejet en période sensible (étiage),
  • orienter les actions de gestion pour préserver durablement l’équilibre écologique,
  • et adapter la filière de traitement.

Ainsi, la connaissance approfondie et évolutive du milieu récepteur devient un véritable outil d’aide à la décision, au service de la performance des ouvrages d’assainissement et de la protection des ressources en eau.